Moules à la Niortaise

J’étais encore haute comme trois pommes quand ma mère n’emmenait régulièrement avec elle à… Paris!

Il s’agissait des vacances scolaires durant lesquelles il était inenvisageable de me laisser seule à la maison. Nous prenions donc le train toutes les deux pour nous rendre à ses bureaux.

Ma mère m’assignait alors une tâche que j’accomplissais avec attention et minutie.

Une rigueur qui me valu d’ailleurs la reconnaissance de son patron qui un jour me fit appeler et me donna, de la main à la main, un billet de 500 francs, ce qui représentait pour l’époque, une somme assurément démesurée par rapport à la besogne qui m’était confiée.

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